Commentaires des internautes

Année 2008

Le 29 décembre

Votre site est superbe, et très intéressant. J'ai été passionné par l'histoire des langues, des liens entre langues, des emprunts...
Le tout est très vivant, très documenté et très agréable à lire.

Une question néanmoins me taraude après avoir lu beaucoup de vos articles : on parle toujours, dans les livres ou sites sur les
langues, des phases d'assimilation et de simplification des langues (phonétique et/ou grammaticales).

Mais je n'ai jamais vu abordée l'explication de la complexification des langues : comment sont nées les grammaires latine, grecque, allemande, comment le français a-t-il pu créer l'imparfait du subjonctif, puis l'oublier ?

Par ailleurs, la langue me semble avoir des liens très forts avec la religion. Je suis totalement athée, et je ne cherche pas à vous faire me répondre sur des thèses qui n'ont rien de scientifiques. Néanmoins, mais les combats de l'église entre le latin et les langues vulgaires, les notions que portent les religions, par delà les pays et les langues, façonnent notre façon de penser collective, ce qui doit mécaniquement ressortir dans les langues. Ce sujet m'interpelle, je n'ai rien vu là-dessus dans votre site,
connaissez vous des écrits sur ce sujet ?

De la même façon, la science et la technologie ont créé depuis quelques années un sabir très partagé, des modes de communication et des modes de pensée qui devraient aussi influer sur les langues.

En vous remerciant encore de mettre à disposition de tous des informations aussi intéressantes,

S. Ringot

Le 17 décembre

Tout d’abord, je tiens à vous féliciter pour la qualité de votre site. Je m’occupe du dossier des élèves immigrants à mon district scolaire. Nous venons tout juste d’accueillir un jeune Sénégalais de cinq ans dans une de nos écoles. Les parents et leur enfant parlent le pulal. Est-ce que vous connaissez cette langue ou encore avez-vous des pistes à me fournir pour orienter mes recherches? Merci du suivi à ma requête et bonne fin de journée!

Claudette Lavigne, agente pédagogique, Dieppe (N.-B.).

Le 16 décembre

Il m'est arrivé plusieurs fois d'atterrir sur votre site et d'être vraiment impressionné par l'abondance et la précision de vos informations. Tant que je ne connaissais pas le sujet, cela me convenait...

Voilà que je découvre la rubrique des commentaires, et certains me paraissent justement réservés, en particulier sur le Rwanda et le Burundi. De son côté, j'ai l'impression que Thierry Bobinet fait de l'humour au 3e degré, lorsqu'il vous remercie de votre site "très bien fait et très intéressant", alors qu'il vient de prouver le contraire en relevant une information parfaitement fausse sur la signification de Guadeloupe. En vérité, ce nom vient en effet de N.-D. de la Guadalipe, qui est le nom d'une rivière venant de l'arabe wad et -Lupus "la rivière Lupus" (Dict. de A. Cherpillod).

De mon côté, je relève ces notations théoriques sur la Biélorussie:

1) En RSS de Biélorussie, la langue officielle des mass média, est la langue biélorusse.
2) La langue russe peut aussi être la langue des mass média officiels ainsi que les langues des autres nationalités.

Elles reflètent mal la réalité linguistique telle que me l'a rapportée un ami: le biélorusse avait été complètement relégué et est encore aujourd'hui très peu parlé, comme l'ukrainien.

Enfin, au niveau des principes, vous êtes de ceux qui ne classent pas le français parmi les dix langues les plus parlées au monde.. Pourquoi négligez-vous la Francophonie dans ce classement (environ 200 millions de locuteurs actuellement). Je suis vraiment réservé.

Jacques Groleau, Paris.

Le 14 décembre

Je tiens à vous remercier; j’ai trouvé par hasard votre site. Comme je ne sais comment vous remercier, je vous dit simplement merci et continuez.

Djamel, France.

Le 13 décembre

En tout premier lieu, je tiens à vous présenter toutes mes félicitations pour votre fantastique travail développé sur ce site. Je n'imagine pas la somme des efforts accumulés pour arriver à un résultat aussi abouti ! Le véritable «plus» de votre contribution est qu'elle se révèle accessible à tous - linguistes ou pas - et qu'elle regorge d'informations historiques et géopolitiques, certes indissociables de l'aspect linguistique, en permettant à tous de trouver son bonheur ! Encore bravo et bonne continuation !

Si vous le permettez, je voudrais - très modestement - vous apporter une petite précision. N'y voyez pas ici, le délire du censeur mais plutôt la fierté du modeste contributeur que je suis à votre travail. Dans votre dossier consacré à Mayotte, vous indiquez, paragraphe 5.2, in fine, qu'un système de bourse au profit des étudiant mahorais 'est délivré par le conseil Régional'.
http://www.cafan.ulaval.ca/axl/afrique/mayotte.htm

Ceci est tout à fait exact, mais incomplet. En effet, l'État français lui-même offre aux étudiants mahorais étudiant en métropole toute une panoplie d'aides financières (Bourses, prise en charge des voyages Mayotte/Métropole) comme tout étudiant des DOM-TOM. J'ajouterais même que l'État français se montre très 'conciliant' en ce qui concerne l'étude de ces dossiers (reconnaissance du rôle des cadis, du droit musulman), comme vous le précisez vous-même dans votre propos.

En conséquence, je serai très heureux que vous ajoutiez «et par l'État français» à la fin de votre phrase en guise de reconnaissance du travail que j'effectue au quotidien, avec mes collègues, au profit des étudiants mahorais.

Avec tout mon respect, très cordialement,

Philippe Bernier, responsable du 'Service de la vie de l'étudiant', Centre régional des oeuvres universitaires et scolaires
Limoges, France

Le 5 décembre

[...] C'est en fouillant sur Internet à la recherche de renseignements sur les autres créoles portugais que j'ai rencontré votre site. Je l'ai trouvé très intéressant, d'autant que vos explications sur la formation des langues créoles vont dans le sens des conclusions auxquelles j'étais arrivé.

Je vous écris donc pour deux raisons. Tout d'abord pour savoir si vous acceptez que je vous cite (cf. p. 2), en respectant les règles que vous fixez sur le site. D'autre part pour vous demander si le petit travail auquel je me suis livré n'est pas une trop grande aberration pour un spécialiste, sachant que je n'ai à l'heure actuelle pas d'autre jugement que ceux de curieux qui souhaitent pouvoir communiquer avec les Capverdiens de São Vicente.

Je me permets donc de vous envoyer le document en pièce jointe, en vous remerciant par avance pour l'attention que vous voudrez bien y porter. Cordialement,

Jean-Christophe Tailpied, Caen, France.

Le 29 novembre

Sur l'article dont le titre est sur votre site «Mauritanie Al Jumhuriyah al Islamiyah al Muritaniyah», je trouve scandaleux de dire que le poular ne représente 6,4 % de la population de la Mauritanie. Je ne sais pas d'où viennent ces informations, mais cela est loin d'être juste et cela crée des frustrations... Donc, merci de donner au moins 30 %.

Sylla Aboubacrine, France.

Le 23 novembre

J'ai lu votre article sur la République irakienne : TB; il nous permet d'avoir une très bonne idée de la complexité historique, géographique, culturelle, religieuse, ethnique, politique de ce pays. Une simple remarque : les trois étoiles vertes du drapeau irakien ont été supprimées depuis un vote au Parlement irakien, le mardi 22 janvier 2008 (110 voix pour cette décision sur 165); ce drapeau a été ainsi modifié en attendant qu'un nouveau drapeau soit conçu (d'ici un an à compter de la décision du Parlement irakien). Ceci peut revêtir une certaine importance quand on connaît l'origine et le pourquoi de ces trois étoiles (on peut visualiser cette même étoile sur le drapeau de pays contigus à l'Irak). Sincères salutations,

J.L. Sarlin, France.

Le 13 novembre

Je suis Maiwenn, je commence cette année un Master d'histoire à Barcelone par le biais du programme Erasmus. Étant moi même bretonne et bretonnante, je suis très intéressée par les politiques linguistiques, ainsi je voudrais faire mon mémoire sur ce sujet en Catalogne. Cependant, j'ai quelques difficultés à définir mon sujet (la politique linguistique de la Catalogne me parait trop vaste). Pourriez-vous m'aiguiller sur ce qui a été fait, les polémiques, me conseiller une bibliographie? Je suis ouverte à toutes idées et conseils. Sincères salutations,
 
Maiwenn Kerneis, France

Le 7 novembre

Dans la section «Médias», il serait intéressant de spécifier que le signal de TV5 Orient est diffusé en Hertzien (Canal 9) sur le grand Beyrouth depuis 2004 à travers un accord officiel entre la chaine et le gouvernement libanais afin de maintenir une présence francophone dans la diffusion télévisuelle suite à l'arrêt des chaines libanaises partiellement francophone après la guerre. Bien cordialement,

JM Druart
www.libanvision.com

Le 6 novembre

Je suis en train de lire votre site (fort intéressant, d'ailleurs) et j'espérais me renseigner au sujet d'une langue littéraire, mais la chose ne s'est pas totalement clarifiée dans mon cas. Pouvez-vous m'éclairer s'il vous plaît? J'analyse quelques textes de Clément Jannequin (1485-1558), compositeur faisant partie de l'école franco-flamande et auteur de chansons descriptives dites parisiennes. Pouvez-vous me dire si cette langue et ce qu'on appelle le parisien ou si cela porte une autre dénomination, comme une sorte de moyen français? 
 
Vanessa, France

Le 30 octobre

Votre site est très complet et intéressant. Le nombre d’informations que vous avez collectées sur le Danemark est impressionnant. Toutefois, il y a des erreurs dans le tableau que j’ai marquées en rouge. En effet, les mots hands et keskjort n’existent pas en danois. «Chemise» se dit skjorte et «gant» se dit handske.

De plus et à propos de l’intrusion de l’anglais, on pourrait rajouter que celle-ci se produit également dans la langue quotidienne et d’une manière de plus en plus inquiétante. Beaucoup de Danois, et ce quel que soit le niveau d’études, utilisent des mots anglais là où existe un équivalent danois, en vue de «faire moderne et dynamique». Par exemple, beaucoup emploient le mot «tricky» au lieu de «besværligt», ou mélangent anglais et danois dans une expression très usitée et grossière comme «fuck dig». Souvent, il s’agit même d’expressions entières comme «once i a lifetime», «in your dream» et des dizaines d’autres. Comme c’est le cas en France, ceux qui refusent d’employer ces anglicismes sont condamnés à être traités d’archaïques et de rétrogrades…

Au niveau de la prononciation du danois, beaucoup de chercheurs s’inquiètent de la montée en puissance du «cannibalisme linguistique», phénomène oral caractérisé par une distance de plus en plus grande entre la manière dont les mots étaient prononcés il y a quelques années et dont ils sont prononcés aujourd’hui par les moins de 30-40 ans. Par exemple, le mot produkter se prononce de plus en plus comme [pådågdå]; et beskæftigelsesministeriet devient dans la bouche de certains journalistes [beskæftismisteriet]. De même, arbejdsmiljø devient [arsmiljø]. Comme vous le remarquez, c’est souvent la lettre R qui tend à disparaître. Et un dernier pour le plaisir: fødselsdagsgave (cadeau d’anniversaire) se prononce de plus en plus comme [føsdasgav]. Cordialement,

Alexander Martin, Copenhague 

Le 27 octobre

Je tenais à vous féliciter pour le contenu très riche de votre site Internet. Journaliste actuellement à la rédaction d’articles sur la francophonie en Afrique, votre site est de loin l’une des meilleures sources d’informations pertinentes et bien entendu, vérifiées/vérifiables…ce qui n’est malheureusement pas souvent le cas sur Internet. Ne vous inquiétez pas, ma recherche étant déjà complétée, je ne compte pas reproduire votre contenu, mais, après tant de travail de votre part, je considère vital de vous féliciter. Encore merci et chapeau,

Karine Cyr, Canada.

Le 24 octobre

Merci, car votre document m'a apporté beaucoup de connaissances car il s'avère que j'ignorais la présence d'un tel document aussi enrichissant; juste pour vous féliciter.

China Babini, France.

Le 22 octobre

Je me permets de vous écrire, car j'ai lu votre fiche sur le Rwanda, mais ai été cependant troublé par la phrase suivante : «Après le Rwanda, ce sera sans doute le Burundi qui passera à l’anglais» :
http://www.cafan.ulaval.ca/axl/afrique/rwanda.htm
 
En effet, cette affirmation me semble très discutable car les événements particuliers qui se sont passés au Rwanda ne se passent pas au Burundi et ce dernier n'a donc aucune raison de déclarer l'anglais langue officielle, ce qui, d'ailleurs, induirait pour l'État des frais supplémentaires. L'officialisation de l'anglais au Rwanda n'a pu avoir lieu que suite à la conjonction de circonstances exceptionnelles, à savoir la prise de pouvoir par le FPR anglophone, l'arrivée de 800.000 réfugiés rwandais anglophones et les tensions diplomatiques avec la France. Or, il n'y a rien de tout cela au Burundi. Je pense donc que cette phrase est à supprimer, car il est extrêmement peu probable que le Burundi officialise d'autres langues que celles qui sont déjà ses langues officielles, à savoir le kirundi et le français. Bien à vous,

Daniel DE POLI, France.

Le 19 octobre

Je viens de tomber sur votre site. Il est extraordinaire par son contenu et ça m’intéresse fortement. J’aimerais savoir s’il est possible de faire un échange de lien entre nos deux sites et s’il était possible de reprendre (en établissant un lien retour) certaines parties de votre contenu (concernant Maurice et Rodrigues). En espérant que vous allez agréer à cette demande,
Très cordialement,
 
Jean-Joseph Permal, île Maurice.

Le 10 octobre

Veuillez m'excuser, mais le nom de la Guadeloupe ne signifie pas «Vierge noire» en espagnol. Le nom vient de Nuestra Senora de la Guadalupe de Estremadura, un monastère de cette province où une vierge offerte au VIIIe siècle par Grégoire le Grand serait réapparue au XIVe siècle, après la Reconquista. Il était fréquent pour les Espagnols de nommer les îles conquises des noms de leurs saints ou de lieux de culte. D'où le nom de Guadalupe répété aussi au Mexique dès le début du XVIe siècle. Mais surtout, c'est au monastère de Notre Dame-de-Guadeloupe que Colomb avait reçu la charte de la reine Isabelle de Castille, l'autorisant à armer pour la découverte des Indes par l'ouest. Merci pour votre site très bien fait et fort intéressant.
 
Thierry Bobinet, France.

Le 9 octobre

Cherchant des informations sur l'histoire du français au XVIe siècle, je suis tombé sur votre site Internet. Je l'ai trouvé bien intéressant et j'aimerais pouvoir vous citer dans mon travail de thèse. J'aimerais savoir si cela est possible et si vous n'y voyez pas d'inconvénient. Si, oui quelle référence puis-je utiliser? Je termine une recherche sur le texte d'Etienne de La Boétie (le discours de la servitude volontaire) et les liens que l'on peut établir avec le travail contemporain. Je vous remercie d'avance de votre attention, 

Nicolas Chaignot (sans lieu)

Le 6 octobre

J'ai parcouru votre site Internet dans le cadre d'une recherche d'information sur les langues latines et j'ai fini par lire avec
intérêt une grande partie des articles. Je tiens à vous féliciter pour le travail remarquable, clair et documenté, présenté sur ce site. Bonne continuation.

Pierre-Emmanuel Brugeron (sans lieu)

Le 4 octobre

Je suis enseignante et, cette année, dans notre classe (4e année primaire), nous avons choisi de représenter un pays, soit l'Italie. Nous faisons des recherches afin de mieux le connaître et le présenter aux élèves de l'école. Je suis tombée sur votre site par un heureux hasard. Je suis émerveillée de la belle et riche documentation que j'y trouve. Je suis devenue une boulimique d'info. Merci.
 
Elizabeth Talbot, Canada.

Le 2 octobre

Je vous félicite pour la qualité de la page consacrée aux îles Saint-Pierre-et-Miquelon.

Ref : http://www.cafan.ulaval.ca/axl/amnord/stpierreetmiq.htm

Je remarque cependant que vous ne citez pas l'origine des études toponymiques, notamment pour Miquelon et Langlade. J'en profite pour vous annoncer que le site GrandColombier.com est actuellement remis sur les rails et inclut l'article qui a établi l'origine toponymique des noms évoqués ci-dessus.

http://www.grandcolombier.com/histoire/1497-1579-toponymie-ancienne-et-origine-des-noms-saint-pierre-miquelon-et-langlade/

Salutations,

Marc A Cormier, S-Pierre-et-Miquelon.

Le 26 septembre

Je viens justement de survoler à nouveau votre site, cette fois dans son intégralité: c'est vraiment épatant, du vrai travail scientifique, énormément d'information.

Quant aux parlers roumains, je me permets de vous suggérer une petite information qui me paraît éventuellement digne d'intérêt pour votre site: l'étendue des parlers roumains ne correspond que très approximativement aux provinces historiques (Transylvanie, Moldavie, Pays roumain (Valaquie)). Dans la conscience publique roumaine, dans les médias et jusque dans les manuels scolaires, l'idée d'une correspondance entre province historique et aire linguistique est très bien ancrée, mais cela n'empêche qu'elle soit erronée. La Wikipedia (et vive la pop culture), nous donne une idée, quoique approximative, de la répartition territoriale des parlers roumains : http://en.wikipedia.org/wiki/Romanian_dialects.

Les études de démographie historique situent le poids de la population tzigane dans l'ensemble de la population des principautés roumaines aux temps de la délivrance de l'esclavage (1830-1860) entre 5 % et 6%. Au cours du temps, cette proportion est restée stable, je vous en épargne les arguments complexes et fastidieux. Cela donnerait aujourd'hui quelque 1,1 - 1,3 million de Tziganes, ne serait-t-il intervenu le processus d'assimilation, qui après 150 ans, fait que seulement un tiers reste tzigane.

Si jamais vous estimez que je puisse vous être utile, n'hésitez à m'écrire.

R. Lalu, Roumanie.

Le 26 septembre

Avant tout, je tiens à vous dire que j'utilise votre site fréquemment, surtout lorsque j'entreprends un voyage dans un nouveau pays. C'est un site très utile et sérieux et je vous en félicite. Je suis étudiant en linguistique à l'université de Barcelone et me voilà depuis quelques jours au Sénégal dans le but de faire une étude sur les langues africaines parlées dans la région de la Casamance, au sud du pays. En consultant votre section sur les ethnies du Sénégal, les chiffres que vous proposez m'ont semblé assez précis, sauf les donnés à propos de la langue française. Il est évident que la proportion de locuteurs francophones réelle est nettement supérieure à celle que vous avez donnée, compte tenu du nombré élevé d'habitants de régions rurales. Veuillez à réviser ces données.

Alexandre Garcia, Barcelone.

Le 26 septembre

J'étais resté sur le fait que l'occitan était le nom générique des langues d'oc, ayant détrôné l'appellation «provençal» utilisée jusqu'au XIXe siècle. Citer l'occitan aux côtés du provençal (ancienne Provincia), du languedocien (province à 100 % occitane, d'où son nom) ou du gascon (Wasconia Provincia) me paraît inexact. Il eut mieux valu y rajouter le limousin, langue majoritaire littéraire du Moyen Âge, au point que ce nom (limousin) était équivalent d'occitan et que Dante faillit créer sa Divine Comédie en limousin. Les comtes de Barcelone se targuaient aussi de parler en Llemosi

Dans le Sud, la situation était toute différente dans la mesure où cette partie méridionale du royaume, qui correspondait par surcroît à la Gaule la plus profondément latinisée, avait été longtemps soumise à la domination wisigothe plutôt qu'aux Francs. Les variétés d'oc, plus proches du latin, étaient donc florissantes (occitan, provençal, languedocien, gascon), surtout que l'influence linguistique wisigothe avait été quasiment nulle, sauf dans la toponymie. Dès le Xe siècle, le catalan se différencia de l'occitan par des traits particuliers; en même temps, le basque était parlé dans les hautes vallées des Pyrénées. http://www.cafan.ulaval.ca/axl/Francophonie/HIST_FR_s3_Ancien-francais.htm (France de 987)

Mes salutations distinguées,

J. Faury, Limoges.

Le 24 septembre

Je suis étudiante au cégep du Vieux-Montréal en langues. J'ai parcouru votre site Internet sur l'Aménagement linguistique dans le monde et je l'ai trouvé vraiment intéressant! Je vous demande à tout hasard si vous pouviez me suggérer un site en anglais pertinent concernant l'histoire de l'anglais. Ce qui m'intéresse le plus, c'est son histoire en lien avec les racines latines. Ce que je trouve de plus intéressant à date, c'est sur Wikipédia. Comme je dois faire un travail, mon prof n'accepte pas ce site comme référence. Alors, si jamais vous pouviez me diriger, je vous en serais très reconnaissante. Merci.

Laurence Dancose, Collège du Vieux-Montréal.

Le 21 septembre

Mon nom est My Lan Graziani et je suis une étudiante de première année au Collège Jean-de-Brébeuf. J'ai un travail de 2000 mots en histoire à écrire sur la politique française en Nouvelle-Calédonie et j'aimerais savoir s'il était possible d'utiliser votre site internet comme source. J'ai aussi besoin de faire une "critique" de mes sources et, pour cela, je me demandais si je pouvais avoir un peu d'information sur l'auteur du site (votre formation, où vous travaillez actuellement). Merci à l'avance.
 
My Lan Graziani, Collège Jean-de-Brébeuf, Montréal.

Le 11 septembre

Je suis canadien ou plutôt québécois et je vis à Lure en Haute-Saône, en France depuis 18 ans, et je suis fasciné par la philosophie des peuples amérindiens et inuits. D'ailleurs, ma fille se prénomme ANOOK, un mot inuit et pour en venir au but de ce message, je me demande, vous serait-il possible, de trouver en langue des Montagnais (écrite ou en graffitis ou dessins ou pictogrammes) les mots suivants «rêve réalisé». Merci à l'avance et take care.

Michel Ricard, Haute-Saône, France.

Le 7 septembre

J'aimerais connaitre quels sont les pays dans le monde qui utilisent la langue néerlandaise, comme langue officielle?
En plus, voudriez-vous me renseigner si la Communauté flamande de Belgique est autonome en eau potable? Je suis belge, résidant en Suisse et ce sont des questions que je me pose souvent et auxquelles, je n'ai pas de réponse! Monsieur, je vous remercie pour votre prompte réponse et, dans cette attente, je vous en remercie.

Recevez, Monsieur, mes salutations distinguées.

Jean SZILASI, Suisse.

Le 3 septembre

Je voulais vous féliciter pour votre site www.cafan.ulaval..ca sur l'Inde

Marie-Christine DE LAVERGNE, France.

Le 1er septembre

Je découvre avec beaucoup d'intérêt votre site. Bravo pour sa conception et sa facilité d'utilisation de qualité. Pouvez-vous SVP me donner un renseignement (futile, certes) que je cherche : en quelle année la numérotation des plaques minéralogiques de la Corse ont-elles changé : 20 => 2A et 2B ??? Il me semble en effet que c'est après 1975, bien que cela n'eût pas été
cohérent...

Robert Matin

Le 29 août

Je veux simplement vous dire que je consulte votre site depuis pas mal de temps. C'est très impressionnant et je n'ai même pas trouvé un équivalent, même pas en anglais! Je m'intéresse beaucoup à ce sujet et j'apprécie votre grand travail. Merci,

James Natsis

Le 20 août

Je consulte souvent votre site pour ma culture personnel. En parcourant la page concernant l'Algérie, j'ai constaté que vos chiffres n'étaient plus à jour. En effet, sur ce site http://rgph2008.ons.dz/, le gouvernement algérien annonce officiellement 34,8 millions de personnes en Algérie. Votre site en recense moins. Je vous demande donc de remettre à jour la fiche "Algérie". Je vous en remercie par avance. Cordialement,

Zarour  Zahredine, France.

Le 16 août

Je suis enseignant au Collège J. Monod et, dans le cadre de la semaine de l’Europe programmée à la rentrée de septembre 2008 dans les établissements scolaires français, je collecte tout support pouvant informer les élèves (de 10 à 16 ans) sur les différents pays de l’Union européenne.

L’objectif étant de découvrir la culture mais surtout la langue / les langues de nos partenaires européens, j'ai demandé aux ambassade et aux offices de tourisme nationaux de m’adresser quelques dépliants, quelques affiches, (ou d’autres supports) et qui seraient essentiellement d’orientation culturelle et/ou linguistique, ainsi que toutes références à des liens Internet.

Je vais donc ajouter une page sur le site de notre collège qui renvoie aux différents liens internet et où les visiteurs pourront également trouver un tableau reprenant quelques expressions permettant d’ «acquérir un peu de vocabulaire de base» de la langue officielle du pays, ce tableau étant complété avec l'aimable concours des services des ambassades concernées. Je comptais également adjoindre un petit texte inspiré de vos travaux qui resitue principalement et succintement la langue dans son contexte historique, avec quelques remarques sur tel ou tel point particulier. Je vous adresse en pièce jointe deux exemples de textes tels qu'ils devraient apparaitre sur notre site et je sollicite votre autorisation pour des textes équivalents sur les autres langues de l'Union européenne.

Je vous remercie par avance de votre contribution à ce projet et vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression des mes sentiments respectueux.

Richard Wagner

Le 15 août

Par la bibliographie dans un article paru dans la revue Cahiers du Rifal, j'ai trouvé votre site concernant les langues minoritaires. Sans avoir lu l'article entier dédié à ma langue primaire (maternelle), je le juge très utile et il fournit presque tout le matériel, en tout cas le matériel disponible généralement (lois, statistiques, textes officiels, etc.). Par contre, les détails
sociolinguistiques plus profonds - typiques et presque pas saisissables aux étrangers - manquent. Là s'avère un des problèmes
de la minorité rhéto-romanche aux Grisons. Tandis que ces questions sont presque toujours présentées en allemand - la langue de contact et la langue d'extension pour cette minorité - un a encore un peu en anglais, mais presque rien en français et absolument rien en italien.

Je constate toujours ce manque comme enseignant à l'université de Genève. En plus il ne faut pas oublier que chaque chercheur aborde des difficultés presque insurmontables, s'il ne parle pas très bien la langue et ne peut pas valoir comme partenaire égal aux indigènes, car alors ils fournissent les résultats qu'on attend de leur côté (le romanche est considéré comme une minorité menacée qu'il faut protéger et elle vaut aussi comme exemple du bon fonctionnement de la Suisse quadrilingue - ce qu'elle n'est pas; uniquement certains locuteurs le sont!).

Permettez donc que je vous signale une modeste contribution de mon côté, publiée dans une revue peu diffusée. Même si elle date de 2004 elle pourrait compléter vos indications précieuses. Il s'agit de l'article «Le rhéto-romanche en Suisse. Bilinguisme et diglossie: Problèmes et propositions», dans Éducation et sociétés plurilingues, no 16, juin 2004, p. 15-26.

Clau Solèr, Coire, canton des Grisons.

Le 15 août

Je pensais être isolé dans ma recherche: votre site prouve le contraire. Je suis un individu non souverain dans un état souverain qui a étudié en Louisiane. J'ai écrit, dans un essai, "qui a le droit de dire le droit de la langue?" et proposé la création de "juriconsultes". Bref, viré de plusieurs universités françaises, allemandes et américaines, je prépare - à la va-comme-je-te-pousse - mon voyage vers les Sames.

Merci de votre contribution: je découvre votre territoire.

Thomas Besch

Le 10 août

Chaque fois que quelqu'un m'interroge sur une langue, une minorité nationale, je le renvoie à au site de l'Université de Laval qui est, pour moi, la référence francophone en la matière.

Pour la plupart des régions à problème, vous faites preuve d'une prudence de Sioux, mais vous êtes en même temps documentés de façon remarquable.

Pour ce qui concerne les pages relatives à la Belgique, que je connais évidemment plus particulièrement (je vis sur la frontière linguistique près des célèbres Fourons), je vous reconnais une documentation très fournie, mais dans l'histoire de la Belgique au XIXe et au XXe siècle, je relève parfois que seule la vision flamande des choses apparaît, alors que généralement vous essayez de présenter les différentes positions en présence. Mais en faire le relevé détaillé prendrait du temps. Je vais essayer de trouver celui-ci pour vous proposer diverses améliorations.

En tous cas, le document consultable en fin d'article et émanant de quatre députés du Vlaams Belang (parti d'extrême droite) est révisionniste par rapport à la réalité historique, non cautionné par les autres partis flamands et n'a, à mon sens, pas sa place dans un site documentaire de niveau universitaire comme le vôtre.

Albert Stassen, Hombourg, Belgique.

Le 9 août

J'ai des questions sur les langues depuis que je fait des recherche, mais il n'y a rien sur mes retrouvailles. Donc, j'ai besoin d'aide, si vous pouvez m'aider ça sera un Grand Merci.

Quelle est la langue la plus riche au mondes ?
Quelle est la premier langue parler, & la premier écrite ?

 À vous lire.

Aïcha Leroy, France.

Le 4 août

Je tiens d'abord à vous remercier pour le travail que vous avez fait, je ne suis pas de hauteur pour dire si c'est bon ou mauvais, mais au moins, ça m'a aidé.

Cependant, quelque chose dans l'une des pages de votre site (http://www.cafan.ulaval.ca/axl/monde/langues_germaniques.htm) m'intrigue : «Le francique des Francs disparut en Gaule au profit du français, mais s'imposa dans les régions orientales (Alsace, Allemagne, Suisse, Autriche, etc.). »

Alors que le francique disparait parmi son propre peuple, il "s'impose" dans les régions orientales? Trouvez vous cela normal? qui va favoriser cette "imposition"? comme si l'anglais s'imposait dans le monde de nos jours, mais sans les Anglais, sans les Américains, sans la révolution industrielle, etc. En plus, vous citez vous même une liste de beaucoup, beaucoup de dialectes et de langues germaniques toujours en vie (excepté le pauvre gothique), et parmi tout ceux là, c'est le francique qui s'impose dans les régions orientales? comme si on disait que le gothique, disparu de l'Europe au IVe siècle s'est imposé au Japon!!!!

Je voulais juste réagir à cela, on traite les Français de cocorico parce qu'ils sont fiers, souvent sans vraie base, mais apparemment c'est lié plutôt fortement à la langue, et non pas strictement au pays...

Merci bien de m'avoir lu jusque là, et veuillez m'excuser de mon accent un peu humoristique, mais je ne peux me taire devant une civilisation qui s'incline!

S. K. France.

Le 31 juillet

Depuis de nombreuses années maintenant, je consulte votre excellent site qui est, à mon avis, la référence francophone en la matière.

En lisant la page consacrée aux cantons suisses, j'ai pu déceler quelques petites erreurs. Vous mentionnez à plusieurs reprises que la Radio suisse romande se trouve à Genève. Or, celle-ci se trouve à Lausanne. La Télévision suisse romande a son siège à Genève.

Site Internet de la RSR (radio) : www.rsr.ch
Site Internet de la TSR (tv) : www.tsr.ch

Concernant la presse écrite (article sur le canton de Vaud), la Gazette de Lausanne et le Journal du Nord vaudois n'existent plus.

J'espère avoir pu vous aider quelque peu dans vos travaux. Je me tiens à votre entière disposition si vous souhaitez des renseignements supplémentaires.

Avec mes salutations les meilleures.


Nicolas Deprez, Suisse.

Le 29 juillet

Je viens tout juste de découvrir ce site. Je ne l'ai pas encore parcouru... Toutefois, je veux vous féliciter, vous
encourager et vous en remercier.

Nicole Edinval, France.

Le 24 juillet

J'ai beaucoup apprécié votre article (sur www.cafan.ulaval.ca). Dans le paragraphe intitulé «Les difficultés de la francisation» (phrase clé que j'ai tapée avec les guillemets dans Google pour retrouver votre article), vous écrivez :

dans le sous paragraphe «Un français bourgeois»:

«Cependant, le vocabulaire subit un certain remue-ménage en raison des nouvelles réalités politique et sociales. Tout le vocabulaire politique administratif se modifia avec la disparition des mots relatifs à l'ancien Régime et la création de mots nouveaux employés avec un genre nouveau.» Je n'ai pas bien compris en quoi le vocabulaire changea. Je n'ai qu'un seul exemple, la suppression du mot «sujet» et de l'expression «par la grâce de Dieu».

Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de ma considération distinguée.

Jacques NOIRET

Le 16 juillet

Je vous écris pour vous signaler que le document que vous avez mis en attachement à votre histoire de la Belgique ne représente en rien la version flamande de l'histoire.

DOCUMENT DE CONSULTATION: On peut consulter un texte rédigé par quatre députés flamands portant sur l'Histoire de la Belgique du point de vue flamand. Voir Proposition flamande de résolution relative au démembrement de l'État belge en vue d'accorder l'indépendance au peuple flamand et au peuple wallon souverains.

Il s'agit en effet d'un document révisionniste écrit par quatre membres du parti néofasciste Vlaams Belang. Ce document, présenté au Parlement flamand, a été rejeté à la quasi unanimité des députés flamands démocratiques, montrant bien en cela que la Flandre, si elle est nationalisme, n'est pas révisionniste et n'accepte pas ce genre de document où on trouve de nombreuses falsifications historiques.

J'espère que vous prendrez toutes les mesures nécessaires pour retirer ce document qui, vu son contenu extrémiste, donne une très mauvaise image de la Flandre actuelle et décrédibilise la qualité générale de votre site.

Merci de votre attention.

Fred de Thier, Bruxelles.

Le 14 juillet

Je réitère que bien un heureux hasard qui m'a fait découvrir votre site, car l'Université qui me recrute pour la rentrée, sur X'ian en RPC me demande, en ce jour du 14 juillet, d'enseigner 'la francophonie'.

On me demande à cet effet d'utiliser un ouvrage, à maints égards particuliers, publié par Les Éditions de l'Université des Langues étrangères de Pékin. Un ouvrage qui ouvre le regard sur l'approche chinoise de cette thématique. Aussi je vais, si vous m' y autorisez, aussi m'appuyer sur votre site et vos images, car l'image aide à retenir l'attention de ces jeunes étudiants. Disposez vous d'un DVD que je pourrais me procurer, car je ne voudrais pas donner le mauvais exemple du piratage et aurais à vous citer.

Sauriez-vous par ailleurs où il me serait possible d'avoir accès à des extraits de textes oraux ou de chants dans les langues pratiquées dans le monde francophone en dehors du français ?

Encore une curiosité peut être peu professionnelle, mais je me demande si le concours de circonstance ne continue pas et si vous ne participez pas en ce moment à des conférences organisées au Canada et auxquelles participent des membres de Paris 8, notamment Monsieur Martinez, responsable de l'Agence universitaire de la Francophonie et du réseau dynamique des Langues et Francophonie.

Je vous remercie par avance du temps que vous trouverez pour une réponse et dans cette attente vous adresse mes cordiales salutations.

Valérie Massart,

Le 22 juin

Merci de ce travail remarquable, et présenté avec art et savoir patient et intelligent qui éveille l'intérêt.

Valérie Massart.

Le 11 juin

Votre site est une source inestimable de renseignements pour qui s'intéresse à l'aménagement linguistique. Auriez-vous l'obligeance d'ajouter un lien au site du Conseil pour l'aménagement du français au Nouveau-Brunswick (www.cafnb.ca). Il serait bon aussi d'ajouter un lien au site du bureau du commissaire aux langues officielles du Nouveau-Brunswick: http://www.languesofficielles.nb.ca/

Je vous signale en passant que le lien donné pour le SALIC ne fonctionne pas.

Gérard Snow, Centre de traduction et de terminologie juridiques (CTTJ), Université de Moncton.

Le 11 juin

Je voulais vous remercier pour votre site qui est une mine de renseignements et d’enrichissement personnel lors de mes différentes visites. Imaginant le temps et l’investissement qu’il représente, je trouvais naturel en retour de vous le faire savoir.

J’adore aborder l’histoire d’un pays par l’histoire de sa langue. Je m’intéresse aussi aux rapports de forces entre les différentes langues et naturellement beaucoup à la Francophonie.

Je reconnais que l’histoire du Canada jusqu’au Québec d’aujourd’hui, dans l’affirmation de sa langue et l’un des sujets qui me plaît le plus.

Bref, encore une fois bravo, et merci pour vos nombreuses réactualisations, bonne continuation.

Arnaud Robert, Paris (France)

Le 1er juin

Tout d'abord, mes très vives félicitations pour vote travail, réellement impressionnant !

Particulièrement intéressé par la section de l'emploi des langues en Belgique, pour tenter d'en retirer de quoi alimenter notre réflexion sur la crise grave que traverse notre pays, je suis resté dubitatif sur le contenu de votre dernière mise à jour :
http://www.cafan.ulaval.ca/axl/europe/belgiquefla.htm (5. Les conflits linguistiques bruxellois). Vous y indiquez, à juste titre, que ce texte ne reflète que le point de vue flamand. Et ce n'est pas peu dire !

Votre article nous indique une «perception» un sentiment d'agression ressenti par la communauté flamande, c'est sans doute le cas, mais il serait intéressant de voir si cela est justifié, car il semble de plus en plus évident que la Flandre toute entière, veut faire payer sa souffrance (même imaginaire) à la Belgique entière. Il suffit de consulter les études et essais sur le «flamingantisme» pour y retrouver la majorité des poncifs qui sous-tendent le discours «modéré» de la Flandre actuelle.


Si une population souffre de ce «mal Belge», c'est bien les Bruxellois, victimes d'un bilinguisme forcé et dont le contrôle est détenu par la Flandre (pas question de laisser un francophone juger de l'aptitude à parler le néerlandais), bousculé par l'intérêt des uns, pris à partie par les autres, négligés et négligeables sur l'échiquier politique. Bruxelles a été prise d'assaut par la Flandre qui y a placé sa capitale (à l'encontre de deux arrêts du Conseil d'État!), investie par les institutions européennes (voir le dernier rapport de l'Europe sur la ville, mai 2008). Le «conflit linguistique bruxellois» est imposé par la Flandre, qui revendique le caractère flamand de Bruxelles, à l'encontre de la population locale! Pour vous en convaincre, je vous propose de parcourir un document ci-joint (format PDF), qui me paraît assez éloquent pour refléter la position francophone.

Puisse cette lecture permettre de voir prochainement votre site enrichi d'une page de vos brillantes synthèses et ainsi rééquilibrer les choses, peut-être aussi verrons-nous alors une véritable analyse, faisant fi de tout texte orienté, comme vous nous avez habitués jusqu'ici (encore que, dans un contexte aussi complexe que les institutions belges, arriver à faire la part des choses me semble plus tenir de la quête du Graal que de la mission de routine).

Enfin, je me permets aussi de vous recommander la lecture de l'actualité belge, le Conseil de l'Europe, l'ONU, et la presse étrangère relatent assez les dysfonctionnements de nos institutions, dus à mon humble avis, à la constante pression flamande et la constante attitude défensive des francophones. Depuis le vote des cinq résolutions pour la Flandre au Parlement flamand, la Flandre se comporte de facto comme un État dans l'État, c'est un coup d'État hautement sophistiqué, et la fin de toute coopération possible.

Vous comprendrez dès lors les enjeux incalculables pour le centre Europe, et de la nécessité impérieuse de mettre votre travail à jour avec la position francophone: votre travail est une véritable référence en la matière !

Merci d'avance ! Avec mes très sincères salutations.

Alain Bernard, Bruxelles.

Le 28 mai

Je vous félicite pour votre blog qui est à la fois instructif et passionnant. Toutefois, sur la page réservée à la Turquie, en l'occurrence (http://www.cafan.ulaval.ca/axl/asie/turquie_1general.htm), vous avez décrit les Grecs comme étant catholiques alors que nous sommes orthodoxes. C'est d'ailleurs à Istanbul que se trouve notre Patriarche Bartholomée I. Je vous serais grée de bien vouloir corriger cette erreur. En vous souhaitant bonne continuation,

Sandra Stenzel-Kotzoglou.

Le 28 mai

Je voudrais vous remercier car grâce à votre site, j’ai pu trouver quantité d’informations pour mes recherches (j’étais en effet chargé pour mon entreprise de trouver la langue des affaires employée dans chaque pays).

M. Aurélien GIRAULT

Le 23 mai

Les langues régionales sont sur le point d'être inscrites dans la Constitution française suite à un vote de l'Assemblée nationale (Il faudra attendre le vote du Sénat) pour plus d'informations (http://www.agencebretagnepresse.com). On y trouve, entre autres, deux vidéos donnant la réaction de votre compatriote, la Gaspésienne Claude Nadeau.
 
Paul Le Meur.

Le 20 mai

Je vous envoie, ci-contre, un article écrit par un Flamand concernant son point de vue sur la Flandre actuelle. Je veux parler, bien sûr, des prises de position de certains élus flamands et qui, clairement, commencent à donner une mauvaise image de la Flandre: http://www.nieuwpierke.be/forum_voor_democratie/nl/node/224. En deux mots : l'auteur déplore l'effet produit à l'étranger des attitudes clairement "fanatiques" de certains Flamands et de certains ministres qui se réfèrent non pas à des lois, mais à la fameuse circulaire Peeters. En clair, cela signifie que même un ministre flamand ne connait pas vraiment la loi, ni le pourquoi et le comment des facilités !
 
Je viens, également, de suivre l'interview du ministre responsable actuel de tout ce tohu-bohu. Les journalistes de Canvas (télé flamande), apparemment de bons Brabançons flamands, l'ont sérieusement asticoté et ont clairement fait ressortir la caractère abrupt et primaire des positions du "ministre de la région flamande".
 
Je vous engage à rechercher les erreurs manifestes du mouvement flamand, qui sont désormais telles que même un ministre se voit contredit par des intellectuels flamands! C'est exactement ce que je vous avais déjà déclaré : il circule des erreurs et de l'ignorance, même à un "haut" niveau! Trop de gens n'y comprennent rien, ce qui serait un moindre mal. Mais, surtout, trop de "responsables" n'y comprennent pas suffisamment non plus, volontairement ou involontairement ! Ce qui est reconnu dans cet article par cet auteur lui-même flamand.
 
Guy Thysen, Bruxelles.

Le 16 mai

Bien que je ne sois pas spécialiste, je crois qu'il y a une petite erreur dans votre présentation de la prononciation du swahili: vous écrivez "[r] prononcé comme la jota espagnole"; selon les autres sites et documents auxquels j'ai eu accès, le r est roulé, et on ne voit guère en effet pourquoi on aurait utilisé le r pour transcrire ce son! Merci pour les autres informations!

Michel Fagard, Association Aauberbabel.

Le 13 mai

Bonjour, étudiante en master 2 de sciences politiques, je suis actuellement en stage en Serbie et suis récemment allée au Kosovo. J'aimerais ainsi apporter une petite précision quant à l'article que vous consacrez à ce pays (province? région?) et en particulier quant au paragraphe que j'ai sélectionné :

"Si Serbes et Tsiganes s’adressent à des Albanais, ils peuvent être attaqués; s’ils font appel à un soldat ou à un fonctionnaire de la KFOR, ils doivent parler anglais, français, allemand, italien ou russe. Or, si les Serbes ne connaissent que leur langue maternelle, ils doivent demander l’aide d’un interprète albanais et, dans ce cas, ils sont à la merci de la bonne volonté de ce dernier. "

En réalité, pour des soucis que vous évoquez clairement, la plupart des traducteurs de la KFOR ne sont pas Albanais ou Serbes, mais Macédoniens. De nombreux Albanais vivent en effet dans ce pays dont la langue officielle est le serbe, ce qui résoud en partie le problème de neutralité de ces forces de l'OTAN. Il y a malgré tout des traducteurs serbes et albanais, mais ils ne forment pas la majorité.

J'espère que vous pourrez apporter cette précision dans votre article et que cela pourra un peu éclairer la compréhension de cette région complexe qu'est le Kosovo.

Juliette Andro

Le 13 mai

Merci beaucoup pour ces informations qui m'ont été d'une grande aide. Au revoir. Mes salutations distinguées.

Gaëlle Girard.

Le 3 mai

J'ai vu et apprécié votre tableau comparatif représentant les différentes langues. Je voudrais juste mettre un petit bémol (en toute sympathie). Il existe dans l'esprit de trop de gens une confusion sur le limousin. Le limousin n'est pas une entité géopolitique et ne l'a jamais été. C'est l'ancienne culture des Lémovices (''pagis lemovicenses'') qui englobait l'actuelle Haute-Vienne, une partie de la Marche (basse Marche = 'bellacois' ; région de Bellac 87 et le guéretois; région de Guéret 23 et une partie de l'actuelle Charente (Montbronnais et Confolentais / en gros). Le parler 'creusois' n'a pas plus de valeur que le parler 'charentais'. En effet, la Creuse n'est qu'un département de 1792 au même titre que la Charente. Allègrement, on parle aujourd'hui 'des Charentes', comme on dit 'les Charentes Mmes '(sic), comme si ces départements se conjuguaient à l'infini. Il y a en fait la Charente occitane (proche linguistiquement du limousin) et la Charente aunisso-saintongeaise, de la Rochefoucauld à Rochefort en passant par Cognac d'est en ouest, et de Ruffec à Coutras (environ) du nord au sud. Ceci est un point. Le dialecte de Charentais d'oc est du nord-occitan comme le 87 ou le 19 (sauf Brive, caussenard et Ussel, auvergnat). Le parler charentais oc se démarque du 87 par des particularismes et une évolution propre, même si globalement il ressemble au limousin (c'est un peu le mirandais du limousin).

La Creuse se divise en limousin (Bourganeuf), marchois (La Souterraine, Guéret), bourbonnais (Aubusson) et sud-berrichon au nord. A noter que le sud-berrichon est un marchois au plan ethnique (croissant). La seule unité de ce département (23), tout comme la Charente, réside dans son nom et une sorte d'accent standard dû à l'unification jacobine (sans ironie). On pourra certes parler d'accent creusois ou d'accent charentais bien que, jusque dans les années soixante, les Charentais d'oc aient conservé un accent rocailleux et traînant propre au limousin (à Paris, on nous prenait pour des Méridionaux). A partir des années soixante, les plus jeunes, dont moi-même (né en 1949), se sont mis à parler «à l'angoumoise» en disant le cair et le souair (car et soir). Ceci étant dû au délaissement du patois et à la carte scolaire. L'hégémonie du poitou-saintonge en 16 est sans doute irréversible, et le poitevino-saintongeais a été récemment reconnu «langue de France» avec possibilité d'enseignement. Les 16 oc doivent s'orienter sur Limoges et cela ne peut se faire qu'au niveau de la fac et avec disparition à terme du dialecte 16 oc pur. Ce qui compromet sérieusement l'avenir de la langue, sauf à être appuyé par les grands frères méridionaux que cela n'a pas l'air d'émouvoir (pour eux, nous ne sommes pas occitans, mais 'charentais'. Ce p... de slogan colle à la peau). Je terminerai ce plaidoyer en rappelant que le nord-occitan sert de 'tampon' entre l'occitan central ou méridional et le franco-provençal ou la langue d'oïl. Nous disons en effet chabro pour cabro (chabra), un ospitau / opitaô (non espital); etc. J'ai rédigé un glossaire de 16 oc. je le tiens à votre disposition.

J. Faury, Limoges.

Le 2 mai

Merci pour votre site sur les langues du monde, et en plus j'adore la géopolitique. Je souhaite vous faire découvrir "Polyglot Chat" pour pratiquer l'arabe, l'hébreu, le russe... ou apprendre d'autres langues et cultures :

http://lang.russe.free.fr
http://lang.hebraic.free.fr
http://lang.arabe.free.fr
http://lang.farsi.free.fr
http://lang.turk.free.fr
http://lang.swahili.free.fr

Mes meilleures salutations depuis Toulouse (FRANCE),

François

Le 30 avril

Merci pour cette page complète et très informative sur l’Angleterre (http://www.cafan.ulaval.ca/axl/europe/angleterre.htm). Je me demandais s’il ne serait pas mieux d’ajouter un lien pour les lieux que vous mentionnez, par exemple le nom des régions, un simple lien permettrait de permettre à l’internaute de poursuivre ses recherches. J’ai recherché par exemple le site officiel de la région des Midlands de l’Est et ils ont un bon site en français (http://www.discovereastmidlands.fr/). Juste une suggestion, faites moi savoir ce que vous en pensez !

Rémy Allard

Le 17 avril

Sous la Tunisie, la fondation de Carthage fut en 814 avant J.-C. et non en 814.

Ali Reguigui, Université Laurentienne (Sudbury), Ontario

Le 16 avril

Merci pour votre site très abordable, très bien documenté (j’ai pu vérifier en cliquant sur «Japon») dans le cadre d’une approche non réservée aux seuls spécialistes. Un gasshô amical et encore merci !

Michel Poey (Paris)

Le 15 avril

Cher Monsieur, en vous félicitant pour votre excellent travail, étant un prof iranien, j’ai été étonné de vos nombreuse erreurs sur l’Iran. Je ne sais pas quels étaient vos sources démographiques sur cette pays, mais au niveau de la population et linguistique vous êtes tombé malheureusement au piège des nationalistes persans de l’Iran. Par exemple, c’est évident que plus de 30 % d’habitants de Téhéran et son environnement sont turcophones, ou encore sur vos plans la majorité de l’Azerbaïdjan de l'Ouest est Kurde, c’est absolument faux. Sur la division linguistique du peuple (51 % persan, 20 % azérie), c’est une invention absoudre. Merci de votre attention.

Mehdi Mohammadzadeh

Le 12 avril

Je voudrais vous signaler qu'il existe des politiques linguistiques en France au niveau régional comme en ''Bretagne administrative'' (la Bretagne étant plus vaste que la région portant ce nom) pour le breton ou au niveau départemental comme au Pyrénées-Orientales pour le catalan. Un office de la langue bretonne a été créé dans ce cadre. Quand la ''Bretagne administrative'' signe des accords internationaux avec d'autres régions d'Europe ou du monde, une version en breton de ces accords est rédigée (sauf avec une région de Chine, les Chinois refusant de signer les versions qu'ils ne peuvent comprendre). La politique linguistique de la région Bretagne a été votée à l'unanimité au Conseil régional, ce qui n'a pas empêché le sénateur ultra-jacobin Mélenchon d'affirmer qu'une telle politique était illégale, la langue de la République étant le français, et le français seulement (cet individu s'est fait remarquer dernièrement en soutenant que la politique de la Chine au Tibet était justifiée).

Paul Le Meur, France.

Le 12 avril

Votre site est très riche. Très scientifique dans sa démarche, avec une approche accessible au public. Je n’ai pas vu tout l’étendu de votre portail, mais c’est impressionnant. La présentation est de première génération et bénéficierait d’une présentation contemporaine. Par contre, c’est le contenu qui compte. Un vrai travail de bénédictin.

Marcel Fournier, Montréal, Canada

Le 12 avril

Je suis une étudiante indienne à la Sorbonne, je travaille sur «L'état actuel du français en Inde: est-ce qu'on peut parler de la francophonie en Inde?» J'aimerais bien avoir vos vues et vos suggestions sur ce sujet, si possible. Je reste à votre disposition pour toute information complémentaire. Bien à vous.

Raashie GARG, Sorbonne.

Le 3 avril

J'ai lu avec un grand intérêt un condensé de vos notes de cours sur l'«Histoire de la langue française» je vous en remercie. Je suis alors attiré par la pertinence des données avancées .Je demeure persuadé qu'il s'agit là d'un travaillé fouillé et perspicace. Voilà pourquoi je vous demande de m'envoyer une notice bibliographique à même de m'aider à compléter mes informations sur un peu plus de détails. Merci d'avance de la suite que vous voudrez bien réserver à la présente.

Martin Kambulu Ngalamulume, République démocratique du Congo.

Le 3 avril

C’est la première fois que je consulte votre site Web. Je vous félicite pour la quantité et la qualité de l’information qui s’y trouve. C’est un vrai trésor!!! [...]

Moha Melouki, Rabat (Maroc)

Le 29 mars

Votre site, que j’ai vu mentionné dans la revue L’Histoire, est une véritable cave d’Ali Baba! Je note que vous n’avez pas inclus les langues des Peaux-Rouges américains, mais je suppose que leurs langes descendent des langues de la Sibérie. Je connais une dizaine de langues : le parler (anglais, français, espagnol, italiano et arabe), en études (gaélique, latin, grec et allemand). Mais j’aimerais faire une comparaison de vocabulaire pour les grandes familles de langues. Si ce n’était que pour les Indo-Européens.

Ma question : existe-t-il un programme qui permet de comparer les langues par leur vocabulaire. Évidemment ceci requiert accès à une base de donnes pour les dictionnaires. Exemple : on tape les mots pour les numéros un-à-dix dans une colonne, et il donne les équivalents dans les langues de votre choix dans les autres colonnes. Encore, bravo pour le site. Je n’ai fait que commencer ma randonnée sur votre site. Salutations distinguées,

M. Sullivan

Le 26 mars

Tout d'abord, je vous voudrais remercier pour la tâche que vous faites dans le domaine des langues minoritaires. C'est impressionnant! Pour moi, le meilleur Website sur langues et la législation qu'on peut consulter on line. Je suis David Forniès, directeur du journal on-line catalan MónDivers (http://www.mondivers.cat), spécialisé dans les nations sans État, minorités, conflits et droits humains. Cet e-mail est pour vous proposer d'inclure un lien à notre site dans votre section de liens: http://www.cafan.ulaval.ca/axl/monde/Nos_liens.htm.

Nous pensons que l'inclusion de notre référence peut être intéressante, car nous avons une section, la ''Naciopèdia'', qui est une sorte de guide des peuples minoritaires et des nations sans État du monde et qu'elle a de l'information sur des langues qu'on y parle: http://www.mondivers.cat/spip.php?rubrique30.

Comme vous verrez, nous avons cité votre Website comme une des sources de référence pour notre étude. Merci beaucoup pour tout!

David Forniès, MónDivers [www.mondivers.cat].

Le 24 mars

En cherchant une carte détaillée précisant les frontières des différents émirats des Émirats arabes unis, je suis arrivé sur votre site. Je vous félicite pour être l'un des très rares site à publier cette carte détaillée (d'autant que la cartographie n'est pas le principal objet d'étude du CAFAN). Toutefois, à l'adresse citée en objet, il me semble avoir détecté une anomalie : dans un tableau classant les groupes ethnolinguistiques résidant aux Émirats en quatre catégories, les Japonais (bien que fort peu nombreux aux Émirats) sont les seuls à bénéficier de l'insigne privilège d'apparaître dans deux groupes différents : Européens et les "autres". Je ne suis pas sûr que ce classement des Japonais dans le groupe ethnolinguistique des Européens soit bien pertinent. Je suspecte une erreur possible. En espérant avoir contribué à l'amélioration de votre site. Cordialement,

Pierre-André, France.

Le 21 mars

Je tenais dans un premier temps à vous remercier pour le travail que vous accomplissez sur l'évolution linguistique dans le monde et l'éclairage si précieux que vous apportez sur les langues sur notre planète. Je suis très intéressé par tous les sujets traités et je vais me lancer dans les mois à venir, dans une série d'échanges avec des associations et d'autres organismes sensibilisés à la francophonie et son évolution. [...] Je profite de ce courrier pour vous remercier de votre travail précieux. Recevez mes cordiales salutations de Provence

Éric Gérome, Marseille, passionné de Francophonie

Le 20 mars

J'ai pris connaissance de votre site avec beaucoup d'intérêt et j'espère qu'il obtiendra le succès qu'il mérite. Permettez-moi de vous faire quelques remarques :

1 ) Ne pensez-vous pas qu'il conviendrait de faire état des aménagements des écritures et, en particulier, des diverses réformes des orthographes (à commencer par celles du français) ? En tant que président de l'AIROE, je suis prêt à collaborer. (AIROE = Association pour l'information et la recherche sur les orthographes et les écritures).

2 ) À propos de l'hébreu :

- un détail : vous écrivez parfois Yehouda (à la place de Ben Yehouda : Ben n'est pas son prénom...);
- une question (début du paragraphe "Le plan de partage") : êtes-vous sûr que, en 1947 "les juifs ne voulaient rien entendre d'un État palestinien"?
- votre bibliographie laisse à désirer : les plus grands spécialistes (Rosen, Rabin, Blank, Fellman) ne sont pas cités, alors que vous mentionnez nombre de publications mineures. Permettez-moi de vous signaler au passage que j'ai publié plusieurs ouvrages sur la question et, en particulier, à la demande C. Hagège l'article consacré à la renaissance de l'hébreu dans le Recueil encyclopédique "La réforme des langues" (dirigé par Fodor et Hagège).

Ici encore, je suis prêt à collaborer avec vous. Bien cordialement.

Michel Masson, Université de Paris 3.

Le 19 mars

Je suis présidente d'une association, basée en France à Toulouse, qui travaille sur l'éducation et l'aide au développement pour Haïti. Je suis en train de créer le site Internet de l'association et je souhaiterais insérer un lien dans une de mes pages qui relate l'histoire d'Haïti afin que les visiteurs internautes puissent mieux connaître cette terre et son histoire. Au cours d'une de mes recherches sur Google, j'ai pu voir votre site «Haïti» dans L'aménagement linguistique dans le monde, et j'avoue que j'ai trouvé votre page sur l'histoire d'Haïti vraiment très intéressante et complète... c'est une des meilleures que j'ai pu trouver! Aussi, je me permets de vous demander l'autorisation [...]

Mme Michèle Albouy, Toulouse. 

Le 15 mars

Je viens de découvrir votre site sur les Antilles. J'espère que vous pourrez m'aider. Mon aïeule était née à Saint-Thomas en 1826. Je n'arrive pas à obtenir son acte de naissance. Savez vous si je peux l'obtenir là-bas et où? En France, aucune administration ne le détient. Merci cordialement.

Édith

Le 7 mars

Bonjour, je suis un Andaluh et ce que vous avez marqué dans http://www.cafan.ulaval.ca/axl/Europe/espagneandalousie.htm
est totalement vrai. Moi qui me demande pourquoi je parlais si mal le castillan, je trouve que j'ai enfin découvert pourquoi, et pourquoi j'ai subi une discrimination au cour de ma scolarité. Il est vrai que j'ai tout de suite compris les équivalents en castillan, mais le plus dur c'était de s'habituer et de perdre mes «mauvaises habitudes», alors qu'en fait je parlais un dialecte originale dans le monde entier, et qui est une langue parlée, au contraire du castillan qui est une langue écrite! Il est donc parler beaucoup plus rapidement. [...]

P.-S.: Je trouve que l'andalou standard est parfait (dans votre traduction); moi, j'aurais lu le castellan, mais avec les sons de l'andalou standard.

Merci, un lycéen immigré d'Andalousie,

Tabasco-Jurado Alvaro, Andalousie.

Le 3 mars

Je viens de lire votre site sur le Congo. Plus rien d’étonnant, sauf vos écrits à l’accent colonial, c’est normal vous êtes blanc et non noir.

Douglas Vimp.

Le 29 février

Étant donné que je donne le cours d'aménagement linguistique, je visite très souvent le site y relatif. Je voudrais vous remercier du travail accompli. En ce qui concerne le Rwanda, il y a une petite erreur à corriger. On ne dit plus REPUBLIQUE RWANDAISE, mais plutôt RÉPUBLIQUE DU RWANDA. Ceci est en vigueur depuis la Constitution de
2003. Mes congratulations.

Dr Evariste Ntakirutimana, National University of Rwanda, Rwanda.

Le 25 février

Et félicitations pour votre site Internet très complet. J’y suis, pour être honnête, arrivé par une recherche sur Mayotte et j’ai pu voir que votre contenu était de qualité et correspond tout à fait à la réalité.

Je souhaiterais savoir s’il était possible faire un échange de liens (nous aimerions vous citer sur notre site internet) et apprécierions que vous nous mentionnez dans votre page sur Mayotte : http://www.cafan.ulaval.ca/AXL/AFRIQUE/mayotte.htm.

[...]

Cordialement.

Nicolas Basso, Mayotte

Le 20 février

Merci à vous pour toutes ces précisions sur l'écriture japonaise. La maîtresse de ma fille, en troisième année de maternelle propose à ses petits élèves une initiation à l'art et la culture japonaisez. Intéressée et curieuse de toute info, je dévore tout. Les explications sont très précises. Je vais me coucher moins bête ce soir. Merci.

Daniel Renaud, France.

Le 18 février

Suite à un cours de français sur l'analyse de «Évolution et structure de la langue française» (chapitre IV: Nouvelles invasions) de Von Wartburg, notre classe s'est posé la question de savoir pourquoi la langue des Vikings avait disparu après une génération.

Après la lecture de votre article «La période féodale: l'ancien français (IXe-XIIIe siècle)» (dans L'aménagement linguistique dans le monde, Québec, CAFAN, Université Laval, 14 novembre 2007, [http://www.tflq.ulaval.ca/axl/francophonie/HIST_FR_Ancien-francais.htm], (20 janvier 2008), 103.7 Ko), nous nous sommes demandé dans quels domaines en Italie figuraient des traces de l'ancien français chez les Normands.

D'avance, nous vous remercions des éclaircissements que vous pourriez apporter à notre recherche.

Stéphanie Massuir, Maude Jolly, Alix Hoge, élèves de rhétorique au Collège Saint-Hadelin, Visé.

Le 14 février

Bonjour ! Je suis un pasteur de l'Église évangélique en Nouvelle-Calédonie (kanaky). Et je voudrais vous demandez parce que je suis d'origine de la commune de Kaala-Gomen. Et notre langue vernaculaire c'est le yuanga. Et ma question, c'est de vous demander, comment ça se fait que dans la kanaky nous avons plusieurs langues vernaculaires. Et dans l'île de Maré aux îles Loyauté, il y a des mots à nous qu'on retrouve dans leur langue. Et vous pouvez aussi m'expliquer l'histoire du peuple austronésien, dont en lisant les documents je crois que nous en faisant partie, nous, le peuple kanak.
J'ai besoin qu'on essaie de m'expliquer par rapport à mon ministère de pasteur.

Je vous remercie.

Taouvama Christian, Nouvelle-Calédonie.

Le 13 février

C'est avec beaucoup d'intérêt que je viens de lire votre article sur «Le Pays basque». Bien documenté, il s'avère agréable à lire, même pour un professeur d'histoire enseignant au Pays basque, comme moi. Le propos de mon courriel porte sur la partie historique de votre article, et plus particulièrement sur le chapitre consacré au nationalisme basque. Vous y qualifiez ETA de «mouvement nationaliste», ce qui correspond à la phraséologie de ce mouvement, mais ce qui est à l'heure actuelle très contesté par de plus en plus d'observateurs qui y voient plutôt un mouvement révolutionnaire. Mais plus grave me paraît l'absence totale de référence au fondateur du nationalisme basque, Sabino Arana Goiri, pourtant fondateur du néologisme
Euzkadi («patrie basque»), du drapeau basque et d'une bonne partie du vocabulaire politique en langue basque. Vous ignorez aussi le Parti nationaliste basque, EAJ-PNV, plus que centenaire, qui a dirigé le gouvernement d'Euzkadi pendant la guerre civile, et qui est au pouvoir au Pays basque depuis le retour de la démocratie à la suite d'une série de victoires électorales ininterrompues jusqu'ici. Ce sont des manques qui me paraissent devoir être rectifiés afin de garder à votre site son côté exhaustif et politiquement neutre.

Amitiés du pays basque!

J.M. Quijano, Pays basque

Le 6 février

Je viens de passer du temps sur votre site. C'est une vraie merveille de clarté. J'ai parcouru chaque page avec un très grand plaisir. Et lorsque j'ai fini de tout lire, je fus un peu déçu d'avoir fini. Merci à vous pour ce magnifique cadeau. Merveilleux !!!

Colenson Patrick, Marseille (France).

Le 4 février

Je viens de découvrir votre site. Félicitations pour cet immense et très beau travail. Dans le chapitre relatif à «L'histoire du français au Québec», dans la section concernant le Régime français, vous mentionnez que, durant cette période, 27 000 Français immigrèrent dans la colonie, mais que les deux tiers retournèrent en France après quelques années; vous mentionnez également que durant la dite période 10 000 soldats vinrent de France, que plus de la moitié de ceux-ci y retournèrent, mais que les autres s'établirent définitivement dans la colonie : à ce propos, j'aimerais savoir si ces soldats sont comptabilisés dans le nombre des 27 000 immigrants, des 18 000 qui y sont retournés et des 9000 qui sont restés en Nouvelle-France. Vous remerciant pour l'attention que vous porterez à la présente et pour toutes ces informations que vous mettez à notre disposition.

Gaston Boivin, province de Québec.

Le 29 janvier

Tout d'abord, je tiens à vous féliciter pour la qualité de votre site et de son contenu: il me fut d'une grande utilité lors de mes recherches. Je suis actuellement en train d'écrire un ouvrage sur les conséquences linguistico-culturelles de la conquête de la Grande Bretagne et, ayant trouvé des informations utiles sur votre site (notamment sur les origines de la langue anglaise), j'aimerais avant d'aller plus avant vous demander votre accord concernant leur utilisation. Je tiens en effet à respecter le droit à la propriété intellectuelle et je met un point d'honneur à citer mes sources. [...]

Je vous remercie de votre compréhension,

Fruoco Jonathan, France.

Le 26 janvier

Je suppose que je ne suis pas le premier Belge à vous écrire concernant le texte très documenté sur la "réalité linguistique" en Belgique. Je constate, malheureusement, de nombreuses erreurs manifestement inspirées par le point de vue flamand.

Quand, par exemple, vous vous demandez comment 10 % de néerlandophones à Bruxelles pourraient avoir une puissance suffisante pour créer une concurrence déloyale entre les deux réseaux d'enseignements, vous manifestez là une ignorance flagrante de la manière dont la Communauté flamande (Vlaamse Overheid) peut intervenir directement dans la Capitale! Bruxelles n'est pas du tout une région totalement indépendante des autres. C'est beaucoup plus compliqué que cela. Et d'ailleurs, même ce statut est l'objet d'une mésentente.

Quand vous citez que le conducteur du bus n'annonce plus le trajet, il faut savoir qu'il s'agit du tableau électronique qui se trouve sur l'avant du bus au-dessus du pare-brise, qui, lui, est toujours et plus que jamais en fonction. Sans cela, il n'y aurait pas d'indication de trajet. Alors ? Racontars ridicules ? Il s'agit bien d'un évènement encore récent et réel. Indignation uniquement flamande, évidemment. Il faut savoir que les conducteurs de bus de la compagnie bruxelloise STIB (il y a une autre compagnie flamande, qui dessert un plus grand périmètre que Bruxelles : "De Lijn") sont souvent des immigrés du Maroc qui habitent Bruxelles et sont presque toujours francophones. Rien que ces deux exemples simples et incontestables montrent des erreurs manifestes ou des moqueries inacceptables, puisque basées sur des erreurs évidentes.

Il faut savoir qu'indépendamment des "interprétations" francophones de la législation, il y a aussi et surtout un lobbying très puissant et très actif sur le plan international de la part des Flamands, ce qui n'est pas vraiment le cas des francophones qui en sont réduits à des stratégies défensives, comme le recours à l'arbitrage de niveau européen. Je ne sais pas si vous parlez de cela. Les Flamands n'ont pas intérêt à ce qu'on sache le résultat des deux enquêtes qui ont été effectuées. Une terrible bataille du lobby flamand en coulisse a fait capoter la réclamation par leur désinformation et leurs puissants moyens d'action habituels . [...]

Je vous félicite tout de même pour la profondeur de votre recherche, même si des erreurs fondamentales ou des lacunes providentielles, en défaveur des francophones, s'y sont glissées. C'est tout juste si je n'en arrive pas à me demander si un Flamand n'a pas inspiré ou rédigé certains passages!

Dr Vet Guy Thysen, habitant une commune à facilités de la périphérie bruxelloise

Le 18 janvier

Cela m'étonne que vous ne fassiez pas figurer la France parmi les pays ayant une politique linguistique dite «d'assimilation», l'État ayant tout fait depuis des décennies, voire des siècles, pour faire disparaître les langues régionales, avec les moyens que vous citez en préambule à votre liste:

http://www.cafan.ulaval.ca/axl/monde/polassimilation.htm

Kenavo!!

Pascal Pierret, France.

Le 17 janvier

J'ai l'honneur de vous écrire de France où je réside, mais connais bien Montréal (que j'adore) où ma fille a vécu avec mari et enfants pendant 12 ans (ses deux petits derniers y sont nés). Votre exposé sur l'IRAN est riche d'enseignement et je vous en félicite. Les cartes remarquablement claires ont retenu mon attention (cependant, j'aurais souhaité que soit indiquée la ville de Téhéran qui aurait servi de point de repère). [...] Afin de parfaire votre exposé magnifique, veuillez accepter que je me permette de vous préciser une petite coquille. Ainsi, est écrit: «quelque soit l'ethnie ou le groupe» (pas très loin avant la fin), alors que la véritable frappe est: «quels que soient l'ethnie ou le groupe» (car quel que en deux mots, - quels que, quelle que, quelles que - est un adjectif relatif qui précède toujours l'auxiliaire "être". L'accord est alors obligatoire. Le verbe est toujours au subjonctif et il s'accorde avec le(s) nom(s) au(x)quel(s) il se rapporte.

Encore toutes mes félicitations et mes meilleurs voeux pour 2008.

Danièle-Djamila Arapjou.

Le 16 janvier

Je vous écris pour signaler ce qui me semble être un problème de compréhension de la Belgique. Sur plusieurs pages, vous écrivez que la Wallonie est égale à la région de langue française, et pas à la Région wallonne. [...] Restreindre la Wallonie à la seule région de langue française va à l'encontre de la réalité. Tout d'abord, quotidiennement, le mot Wallonie est utilisé pour désigner le territoire de la Région wallonne, dans les médias, mais aussi les communications officielles. [...] J'espère vous avoir donné assez d'éléments pour comprendre que Wallonie et Région wallonne sont synonymes, même si les germanophones ne se considèrent pas comme Wallons ou comme étant en Wallonie.

Stéphane Dohet, Cerfontaine (Belgique).

Le 11 janvier

Je suis professeure documentaliste en Polynésie Française. [...] Je renouvelle un deuxième contrat en Polynésie. Je me suis réinscrite à l'Université de Grenoble pour commencer des études de français langue étrangère, puis maintenant j'ai la chance d'être en Master2 avec M. Calvet à Aix, donc par correspondance et en formation continue. Je travaille avec lui sur une taxinomie de politique linguistique. J'ai fait connaissance avec votre site et je voulais simplement vous remercier. Je le trouve très clair. La navigation y est aisée et j'apprécie vos commentaires justement personnels. Il m'aide beaucoup dans mon travail.

Il y a une erreur sur la Mauritanie, non sur la fiche d'identité mais sur un autre lien «La francophonie dans le monde», où il est mentionné qu'elle avait pour langue officielle le français en plus de l'arabe. Je vous souhaite une bonne et heureuse année.

Florence Ferment Méar, Aix-en-Provence.

Le 10 janvier

J'ai été bien étonné de voir sur sur le site de l'Université Laval, un de mes alma mater, une page si bien développée concernant Jersey et Guernesey. Mon père était de Jersey quand il est venu s'établir au Canada en 1930. J'y ai encore de nombreux cousins et j'ai moi-même fait mes "A Level" (General Certificate of Education of Oxford) au De La Salle College de St-Hélier après mon Cegep à FX Garneau. [...] Encore une fois bravo de faire connaître les îles.

John Le Garignon, avocat-conseil.

Le 7 janvier

Excellent site que je recherchais depuis si longtemps. Merci d'avoir permis que ce site soit gratuit donc ouvert à tous...  Félicitation pour la richesse des documents et le travail fourni ... Petite suggestion : la carte de tous les pays et continents sur une page en un clic. Mille mercis de nous permettre d'améliorer notre culture de façon claire et intelligente.

Christine Bordes, France.

Le 7 janvier

Je voulais vous féliciter pour votre site, très pratique pour les voyageurs. Je voyage présentement en Chine et j'apprécie beaucoup consulter vos pages sur tous les pays à travers le monde et tout cela gratuitement.

André Thériault-Thibault

Le 5 janvier

Bonjour, je suis étudiante en Master Management interculturel à Limoges (France) et je voulais juste vous écrire un petit message au sujet de la partie sur la république d'Irlande. Je suis en train de rédiger un dossier sur la langue irlandaise face à la prédominance de l'anglais en Irlande et je voulais juste vous féliciter en quelque sorte! Et vous remercier pour votre site qui est bien fait et qui m'a aidé à y voir plus clair en ce qui concerne le statut de la langue et les textes officiels. Au sujet du Child Care Act de 1991 que vous citez, j'ai cherché parmi les différents articles, mais je n'ai pas vraiment trouvé lequel se réfère à l'apprentissage de la langue. Votre site m'a également beaucoup aidé à y voir plus clair au sujet de l'utilisation officielle de la langue aux niveaux législatif, pénal ou gouvernemental. Peut être pourriez vous ajouter quelques spécifications au sujet de la place de l'Irish au niveau de l'Union européenne, si vous continuez à apporter des modifications à ce site, mais ce n'est qu'une suggestion ! En vous souhaitant une bonne continuation…

Roxane, Limoges.

Le 7 janvier

Je voulais vous féliciter pour votre site, très pratique pour les voyageurs. Je voyage présentement en Chine et j'apprécie beaucoup consulter vos pages sur tous les pays à travers le monde et tout cela gratuitement. Merci

André Thériault-Thibault.

Le 7 janvier

Excellent site que je recherchais depuis si longtemps. Merci d'avoir permis que ce site soit gratuit donc ouvert à tous... Félicitations pour la richesse des documents et le travail fourni. Petite suggestion : la carte de tous les pays et continents sur une page en un clic. Mille mercis de nous permettre d'améliorer notre culture de façon claire et intelligente.

Christine Bordes, France.

Le 10 janvier

J'ai été bien étonné de voir sur sur le site de l'Université Laval, un de mes Alma Mater, une page si bien développée concernant Jersey et Guernesey. Mon père était de Jersey quand il est venu s'établir au Canada en 1930. J'y ai encore de nombreux cousins et j'ai moi-même fait mes "A Level" (General Certificate of Education of Oxford) au De La Salle College de St-Hélier après mon cégep à François-Xavier-Garneau. [...]. Encore une fois bravo de faire connaître les îles.

John Le Garignon, Canada.

Le 11 janvier

Je suis professeure documentaliste en Polynésie Française. Je renouvelle un deuxième contrat en Polynésie. Je me suis réinscrite à l'Université de Grenoble pour commencer des études de français langue étrangère, puis maintenant j'ai la chance d'être en Master2 avec Mr Calvet à Aix, donc par correspondance et en formation continue. Je travaille avec lui sur une taxinomie de politique linguistique.

J'ai fait connaissance avec votre site et je voulais simplement vous remercier. Je le trouve très clair. La navigation y est aisée et j'apprécie vos commentaires justement personnels. Il m'aide beaucoup dans mon travail.

Il y a une erreur sur la Mauritanie, non sur la fiche d'identité, mais sur un autre lien avec "La francophonie dans le monde" où il est mentionné qu'elle avait pour langue officielle le français en plus de l'arabe.

Je vous souhaite une bonne et heureuse année.

Florence Ferment Méar, Polynésie française.

Le 11 janvier

Dans les États-Unis, Delaware, à «Situation générale», le dernier paragraphe, il y a «Virginie occidentale» à la place de Delaware, me semble-t-il. Ce qui ne m'empêche pas d'aimer beaucoup ce site. Merci.

Daniel Bureau, Poitiers (France).

Le 16 janvier

Tout d'abord félicitations pour le travail réalisé, c'est titanesque, et franchement très instructif.

Je vous écris pour signaler ce qui me semble être un problème de compréhension de la Belgique. Sur plusieurs pages, vous écrivez que la Wallonie est égale à la région de langue française, et pas à la Région wallonne. Notamment sur les pages :

http://www.cafan.ulaval.ca/axl/europe/belgiqueetat.htm où les phrases «Ces régions sont parfois associées respectivement à la Wallonie au sud (de façon abusive)» et «La Région wallonne (improprement appelée en ce sens Wallonie)» ne sont pas correctes.

http://www.cafan.ulaval.ca/axl/europe/belgiqueetat_demo.htm avec l'erreur : «Dans la région linguistique française (Wallonie)»

Par contre sur les autres pages, la Wallonie semble correctement intégrer la région de langue allemande (http://www.cafan.ulaval.ca/axl/europe/belgiquefrn.htm) : «La Région wallonne (Wallonie) inclut la région linguistique française et la région linguistique allemande.»

Restreindre la Wallonie à la seule région de langue française va à l'encontre de la réalité. Tout d'abord, quotidiennement, le mot Wallonie est utilisé pour désigner le territoire de la Région wallonne, dans les médias, mais aussi les communications officielles. [...]

Voilà, j'espère vous avoir donné assez d'éléments pour comprendre que Wallonie et Région wallonne sont synonymes, même si les germanophones ne se considèrent pas comme Wallons ou comme étant en Wallonie. Sincères salutations,

Stéphane Dohet, Cerfontaine (Belgique).

Le 17 janvier

J'ai l'honneur de vous écrire de France où je réside, mais connais bien Montréal (que j'adore) où ma fille a vécu avec mari et enfants pendant 12 ans (ses deux petits derniers y sont nés).

Votre exposé sur l'IRAN est riche d'enseignement et je vous en félicite. Les cartes remarquablement claires ont retenu mon attention (cependant, j'aurais souhaité que soit indiquée la ville de Téhéran qui aurait servi de point de repère). [...]

Afin de parfaire votre exposé magnifique, veuillez accepter que je me permette de vous préciser une petite coquille. Ainsi, est écrit: «quelque soit l'ethnie ou le groupe» (pas très loin avant la fin). Alors que la véritable frappe est: «quel que soit l'ethnie ou le groupe». [...]

Encore toutes mes félicitations et mes meilleurs voeux pour 2008.

Danièle-Djamila Aapajou (France).

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